Certains diront qu’il n’y a rien de pire que la pluie à vélo. D’autres diront que c’est le vent, les côtes, les crevaisons… Bref, si on veut, on peut toujours trouver milles façons de râler contre l’adversité. Cependant on peut aussi prendre la vie du bon côté et avoir beaucoup de plaisir à rouler… même sous la pluie !
C’est la vie
La première chose à faire en voyant la pluie, c’est simplement de ne pas paniquer. Ce n’est pas grave. Le pire qui puisse arriver, c’est seulement d’être mouillé de la tête aux pieds (si tu as bien des sacoches étanches en fait).
Alors respire un bon coup, trouve toi un abris de fortune si besoin et si tu peux, et dis toi simplement que c’est la vie…
Bien s’équiper pour la pluie
Philosopher c’est bien beau, mais en vrai on peut aussi s’épargner un peu de souffrance en s’équipant avec du bon matériel, comme je le montre dans cet article.
Par contre il faut garder en tête qu’avec une grosse averse ou une journée complète de pluie à vélo, il est impossible de rester complètement au sec. La vrai question c’est de savoir si tu as le goût d’être mouillé ou si tu préfères t’arrêter.
Savoir s’arrêter pour ne pas se brûler
Parfois on se dit qu’i faut avancer coûte que coûte. Alors on le fait. On reste sous la pluie et on pédale toute la journée. Et s’il le faut, on recommence le jour d’après. Et si voyager à vélo a quelque chose de magique, pédaler tous les jours peut aussi être épuisant. Surtout avec une mauvaise météo qui use le moral. Alors il faut penser à s’arrêter. oser prendre un jour (ou plus) de repos. Prendre son temps pour mieux continuer son voyage ensuite.
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